Notes de recherche

Pendant des années, le Chinook a recueilli des données précieuses sur la pêche dans les Grands Lacs, notamment sur l'impact des lamproies marines et l'efficacité des programmes d'empoissonnement. Son remplaçant, baptisé en l'honneur du Dr Howard Tanner, a été financé en partie par une subvention du GLFT.

Grâce à un récent projet GLFT, les gestionnaires des pêches disposent désormais de deux modèles informatiques, développés par une équipe de chercheurs qui se demandaient s’ils pouvaient trouver une meilleure façon de déterminer les recrutements relatifs des populations reproductrices dans un environnement mixte.

Afin de comprendre le complexe de carence en thiamine, qui contribue à la mort prématurée des truites de lac, les chercheurs ont cherché à savoir si certains gènes de poissons produisent de la thiaminase de novo, ou au niveau cellulaire.

Une équipe de chercheurs a émis l'hypothèse que les panaches fluviaux constitueraient un excellent endroit pour la croissance des larves de perchaude, de gobie à taches noires et de gaspareau. Découvrez comment ils ont testé leurs hypothèses.

En 2014, le GLFT a organisé un atelier sur la connectivité aquatique pour identifier les types d’outils d’aide à la décision dont les gestionnaires des ressources et les régulateurs ont besoin et qu’ils utiliseraient pour guider les décisions sur les endroits où améliorer le passage des poissons ou supprimer des barrages dans le bassin des Grands Lacs.

Le GLFT a financé un projet de recherche pour (1) mieux comprendre la population de saumon quinnat la plus naturalisée de l'État, (2) évaluer les différences potentielles entre les poissons naturalisés et ceux stockés en écloserie, et (3) utiliser les résultats pour éclairer les décisions concernant la culture de stocks autosuffisants d'espèces introduites souhaitables.

Le visualiseur de tendances de la population de poissons de ruisseau a été développé pour servir de point de référence simple et centralisé permettant aux utilisateurs d'obtenir des informations actualisées sur les tendances régionales et locales de la population de poissons. Les affichages basés sur des cartes ont été conçus pour être interactifs, permettant aux utilisateurs de choisir les espèces de poissons qu'ils souhaitent visualiser, au lieu de passer par les biologistes de la division des pêches du MDNR.

Le Dr Riseng a travaillé avec une équipe pour élaborer le Cadre des habitats aquatiques des Grands Lacs, une base de données utilisée pour classer les habitats de différentes espèces dans le bassin des Grands Lacs. Elle en est actuellement à sa dernière année et il est prévu de la maintenir à jour à l'avenir.